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FAQ

  • Les 3 dernières fiches de salaire du/des signataire(s) du bail
  • Une attestation de l’Office des poursuites datant de moins de 3 mois pour chaque signataire du bail.

La/les pièce(s) d’identité ou le(s) permis d’établissement du/des signataire(s) du bail

Vous pouvez nous le transmettre par courrier postal, e-mail, en personne ou par fax. Néanmoins, il est recommandé de privilégier les moyens rapides, les objets en location étant souvent vite attribués.

Vous aurez certainement besoin d’un garant si vous êtes en période d’essai, si vous avez un revenu insuffisant (étudiant, sans emploi, etc.), ou si vous avez des poursuites.
Votre garant devra être domicilié sur Suisse et nous soumettre un dossier complet

Vous devrez nous envoyer un courrier en ce sens, signé par le(s) titulaire(s) du bail et le garant. Vous devrez également joindre tous les documents qui nous permettront de réactualiser votre dossier si nécessaire (fiches de paie pour justifier une augmentation de salaire par exemple).

Vous devrez écrire un courrier signé par tous les titulaires et joindre tous les documents qui nous permettront de réactualiser votre dossier.

Vous devrez faire une demande écrite en adressant un contrat de sous-location et le nombre et pièces justificatives des occupants. contrat type de sous-location

Toute installation doit faire l’objet d’une demande écrite préalable.

Vous devrez nous adresser un courrier de résiliation signé par tous les locataires indiquant notamment l’adresse de l’immeuble, la décision de résilier le bail et la date à laquelle vous souhaitez résilier. Nous vous confirmerons, à réception, si votre résiliation est acceptée à la date proposée et vous indiquerons les modalités de restitution.

En principe un seul ! Néanmoins vous n’êtes à l’abri ni des candidats qui se désistent (même si le contrat est déjà préparé), ni de ceux qui transmettent des informations lacunaires ou erronées s’agissant de leur solvabilité. Vous n’êtes, dès lors, libéré de vos obligations que lorsque le contrat est effectivement signé sauf si, bien entendu, les conditions de location ont manifestement changé (augmentation de loyer par exemple). Dans ce cas, vous êtes en principe libéré de vos obligations par un courrier de confirmation.

ART. 264 du CO: Lorsque le locataire restitue l’objet sans observer le délai ou le terme de congé, il n’est libéré de ses obligations envers le bailleur que s’il lui présente un nouveau locataire qui soit solvable et que le bailleur ne puisse raisonnablement refuser; le nouveau locataire doit en outre être disposé à reprendre le bail aux mêmes conditions. A défaut, le locataire doit s’acquitter du loyer jusqu’à l’expiration de la durée du bail ou jusqu’au prochain terme de congé contractuel ou légal.

Oui. C’est possible pour autant que la personne désignée dispose d’une autorisation écrite, datée et signée et soit en possession d’une copie de la carte d’identité du locataire. Rappelez-vous que cette personne vous représente pleinement ! En cas de litige, vous ne pourrez pas vous déresponsabiliser au prétexte d’une représentation par un tiers.

En moyenne, vous devez compter entre 10 et 15 jours suite à l’état des lieux de sortie pour à nouveau disposer du capital placé en garantie. Il est toutefois acquis, qu’en cas de litige portant sur les travaux à réaliser ou le paiement du loyer, la garantie reste bloquée jusqu’au règlement du dossier.

L’édition des rappels est une procédure automatique. Il faut donc comprendre qu’il est possible que le rappel se soit croisé avec votre paiement. Dans ce cas, aucun problème ! Néanmoins, nous suggérons toujours de vérifier, par exemple, que votre ordre permanent ait correctement fonctionné. Si le rappel est légitime, ne laissez pas la situation empirer ! Un moment délicat peut arriver à toutes et tous et il serait regrettable d’engager formellement des procédures en recouvrement alors que vous avez pleinement conscience de la situation et que, trop souvent, il suffit d’un simple appel à notre service comptable pour acter d’un arrangement financier. Par ailleurs, il existe des dispositifs d’aide ponctuelle permettant de solutionner au mieux une situation financière.

Par principe, le loyer est payable par mois d’avance. L’usage veut que le retard soit avéré à partir du 10 du mois suivant le mois échu.

Un ménage sur quatre ou cinq rencontre des problèmes d’humidité et de moisissures ; ceux-ci ne sont donc pas rares.

Aucun assainissement ne peut être une solution satisfaisante si la cause d’un taux d’humidité élevé n’est pas identifiée et supprimée. Une cause fréquente réside dans la mauvaise isolation des parois extérieures. Elles se refroidissent pendant les saisons les plus froides de l’année et deviennent de ce fait trop humides. Par la suite, la moisissure apparaît sur les murs extérieurs et dans leurs angles.

Plus rarement, l’eau extérieure s’infiltre dans le bâtiment : ainsi une pluie battante, des fissures, une toiture défectueuse, un drainage insuffisant, des conduites percées ou une augmentation de l’humidité des sols peuvent entraîner fréquemment des dégâts importants dus à l’humidité.

Les matériaux qui restent humides pendant plusieurs jours provoquent vraisemblablement des moisissures. Inversement, aucune moisissure n’apparaît sans humidité car ces deux éléments vont toujours de pair.

Les risques pour la santé augmentent avec l’ampleur des moisissures. Outre les irritations fréquentes des yeux, de la peau et des voies respiratoires, il arrive que des allergies se produisent. Les irritations des voies respiratoires peuvent, avec le temps, se transformer en bronchite chronique (toux) et en asthme.

A cause de leur odeur pénétrante, les moisissures peuvent aussi altérer le bien-être et on les soupçonne surtout d’être à l’origine de refroidissements.

L’office fédéral de la santé publique (OFSP ) a édité une brochure traitant de ce sujet, et décrivant les actes à entreprendre. La brochure est téléchargeable ici : Moisissure dans les logements.

En outre, l’OFSP recommande comme règle d’or de maintenir pendant la période de chauffage une humidité relative de 30 à 50 %. Elle ne doit pas dépasser 40 % les jours très froids. Elle diminue si l’on aère fréquemment et que l’on produit moins d’humidité.

Dans les habitations critiques, veiller spécialement à une faible production d’humidité. Eviter de faire sécher du linge dans des pièces atteintes par des moisissures ou d’utiliser des humidificateurs.

Aérer comme il faut :  En règle générale, aérez en faisant des courants d’air au moins trois fois par jour en ouvrant toutes les fenêtres et les portes pendant cinq à dix minutes. La personne qui n’est pas chez elle toute la journée peut le faire le matin, lorsqu’elle rentre à la maison et avant d’aller au lit.

Dans les vieux bâtiments avec des fenêtres neuves et une mauvaise isolation thermique, il faut, si possible, aérer plus fréquemment.
Il en va de même pour les appartements dans lesquels de nombreuses personnes vivent dans un espace restreint et pour des nouvelles constructions ou des bâtiments
après de grandes rénovations.

Evitez pendant la période de chauffage d’aérer en permanence, en ouvrant les vasistas.

Lorsqu’une importante quantité de vapeur est produite en cuisinant, se douchant, se baignant et en repassant, il faut actionner les ventilateurs aspirants ou aérer. Les aérations défectueuses doivent être rapidement réparées et les hottes de ventilation dans la cuisine régulièrement nettoyées. Des fenêtres embuées sont toujours le signe d’un excès d’humidité.